Si les infirmières libérales interviennent pour toutes les pathologies, les patients souffrant de troubles psychiatriques représentent des spécificités, que chaque professionnel de santé doit apprendre à connaitre.
Les infirmières libérales et les patients souffrant de troubles psychiatriques
La visite d’une infirmière libérale au domicile d’un patient souffrant de troubles psychiatriques n’est pas une consultation comme les autres. Les journalistes d’Infirmiers.com le rappelaient déjà il y a quelques semaines, et il nous apparaissait utile de revenir sur le sujet en cette période, propice à la révision des fondamentaux. D’autant plus, que les questions de sécurité des infirmières libérales et plus généralement des infirmières se retrouvent sur le devant de la scène, après plusieurs agressions.
Et depuis de nombreuses années, les visites à domicile de patients atteints de troubles mentaux se multiplient, notamment pour les infirmières et infirmiers libéraux. Chargés notamment de vérifier la bonne prise des médicaments et ainsi s’assurer que les patients ne se mettent pas en danger eux ou leur entourage, les IDEL(s) n’interviennent pas seuls mais sont inclus dans une équipe pluridisciplinaire. Cette multiplication de ce type de visites s’explique par les progrès connus dans les traitements neuroleptiques et antipsychotiques mais aussi par la diminution constante du nombre de lits en secteur psychiatrique.
L’infirmière libérale, un accompagnement réciproquement accepté et non pas une visite imposée
Si ce type de visite à domicile ne repose pas sur une législation spécifique en ce qui concerne le cadre formel, il faut néanmoins insister sur l’absolue nécessité d’obtenir l’assentiment du patient ou de la patiente. Pour toutes ses visites, l’infirmière libérale doit réussir à concilier cette obligation de soins au respect de la vie privée. En d’autres termes, l’infirmière libérale ne devra pas se rendre coupable d’une violation de domicile. Cette question se pose avec d’autant plus d’importance lorsqu’il s’agit de patients souffrant de troubles psychiatriques. Obtenir l’accord du patient représente donc la première étape de cette prise en charge.
Cette approche prudente du patient caractérisera aussi l’arrivée de l’infirmière libérale au domicile de son patient. Ce dernier, pour ne pas ressentir l’arrivée de l’IDEL comme une « intrusion agressive » devra être rassuré et apaisé. Ainsi, Jean Michel Bourelle, infirmier de secteur psychiatrique et formateur consultant permanent au GRIEPS de Lyon (Rhône) conseille : « Nous sommes perçus comme des personnes intrusives. C’est pourquoi rester sur le seuil de la porte quelques minutes est par exemple très important ». A chaque situation correspondra une approche spécifique, mais dans la quasi-totalité des cas, l’infirmière libérale devra communiquer avec son patient. La communication sera en effet le meilleur moyen de déceler les changements d’humeur mais aussi de créer un lien plus propice à la réalisation de la mission de l’infirmière ou l’infirmier libéral.
L’infirmière libérale pour permettre le retour ou au maintien à domicile
Cela permettra aussi à l’infirmière libérale de pouvoir définir, toujours en accord avec son patient, des objectifs à atteindre lors de ces visites. Ce dialogue, reposant sur la confiance, assure de ne pas se faire dépasser par son patient. L’infirmière libérale n’est cependant livrée à elle-même, puisqu’elle pourra faire appel aux Centres médico-psychologiques (CMP) et qu’elle intervient, le plus souvent, en coordination avec l’équipe pluridisciplinaire.
Ce travail d’équipe est essentiel et primordial tant pour l’infirmière libérale que pour le patient lui-même. C’est ce que résume parfaitement Jean Michel Bourelle en expliquant : Le travail réalisé par les infirmiers de secteur psychiatrique favorise certes le retour à domicile. Mais les IDEL sont aussi là pour créer du lien social dans la mesure où ils incarnent parfois le premier contact venant de l’extérieur. Ce lien est indispensable car les troubles psychiques sont source d’angoisse, d’anxiété et d’isolement. De ce fait, une grande responsabilité pèse sur leurs épaules »
En pratique, ces visites à domicile de patients atteints de troubles mentaux sont à l’origine de nombreux retours de la part des infirmières et infirmiers libéraux : les déplacements inutiles lorsque la porte du patient reste close, la rémunération sans rapport avec le temps réellement passé et sans prise en compte des actes annexes, comme la relation d’aide, le manque de formation, …
Et vous, connaissez-vous dans votre patientèle de patients atteints de troubles psychiatriques ? Quel regard portez-vous sur ces patients en particulier ?
Alors là, c’est très clair : non, elles ne le sont pas … il faut les former …
?????
Christine Poulteau j’ai répondu à la question : les infirmières libérales sont elles correctement formées pour intervenir sur de la psychiatrie …
Vous etes ? Boucher Philippe ?? Idel ? Autre ??? Car le nouveau programme de formation ide depuis 2009 intégre toutes les bases de notre beau métier ide. La formation de terrain est une choses mais les bases sont posées !
Eric Fuentes médecin retraité le jeune homme!!!
C est bien ça ! Encore un spécialiste de la maladie alors que nous sommes specialiste du patient ! Et notre décret de compétences évoluant il faut se remettre à la page …..
la moquerie ne confère pas de compétences aux infirmières libérales ….
Il y a plusieurs modules psychiatriques durant les études infirmières. Et ayant une soeur médecin je peux vous dire qu’en médecine vous abordez très peu la psy … perso j’ai travaillé 12 ans en psy avant de passer en libéral.
De toute façon nous sommes tous plus ou moins psy ?
On s adapte à toutes les situations et personnes.
C est notre métier et nous avons été formés.
Pas plus qu’elles ne sont formées pour des poses chimio et leur effet. Mais il y a des stages reguliers pour des « remises à niveau » En outre, je me suis sentie beaucoup plus en sécurité avec TOUS les patients psy auxquels j’ai eu affaire qu’avec moultes Alzheimer et autres démences chez des personnes âgées qui voulaient attenter à mon intégrité physique par des griffures des baffes et des morsures. Alors les psy c’est presque un jeu d’enfant. Une cours de récréation et n’importe qui de cortiqué sent si le patient est en crise ou va l’être. Que ce soit en institution ou à son domicile.
c’est bien, jeune femme … Je suis heureux de vous voir de si bonne humeur …. Je vous signale que l’alcoolisme et les toxicomanies sont aussi de la psy … Et les démences aussi …. Mais c’est vrai qu’en ville en pratique ils sont sages … Bon courage.
Ben, en fait les infirmières ayant bosser en service psy peuvent également s’installer en libéral. Le parcours professionnel des infirmières à domicile est hyper éclectique. Du coup, forcément, on est plus ou moins à l’aise avec certains soins ou certains patients. Personnellement, j’ai davantage de difficultés avec les patients obèses qui ont un kyste pilonidale lol. En fait, je ne comprends pas vraiment l’intérêt de ce genre de post Albus. J’ai l’impression parfois que vous abordez des sujets que vous ne maîtrisez pas 🙂
On les écrit juste pour avoir le plaisir de lire vos réactions, Mik ?. Cela dit vous avez raison, la maîtrise des pathologies dépend beaucoup du parcours de chacun. Mais justement comme très peu d’IDEL sont passés par la psy avant, on se dit que ce doit être compliqué.
Ah d’accord, je pense que je vais alors arrêter de vous suivre. Moi qui vous pensais un peu professionnel
Mik Dupont bonne route !
Bien dit!! Merci..
Albus vos sujets invitent aux partages d experiences ÉT en ce qui me concerne cela me plait.
Mik Dupont tchao
Albus Comment ça très peu? vous avez des chiffres?
Je crois qu’il a décidé de vous faire chier juste par pur plaisir !
Florie Cptne Ce sont souvent des concurrents (qui feraient mieux d’engager plus de conseillers à la hot-line et moins de community managers déguisés).
Très bonne analyse !!!
je pense qu’il ne reste pas.beaucoup d’infirmier(e)s en exercice n’ayant pas suivi le double cursus.
Pourquoi très peu Albus ?
Les diplômes d avant 2010 n avait on pas 3 stages en psy obligatoire. Même si ce ne sont que des stages ça compte un peu beaucoup lol
Corinne Sotiriou C’est vrai !
Décrédibiliser un discours ou un interlocuteur pour éviter de répondre est une technique tellement classique… MOUAAAA
Georges Fillod
Non pas assez et on paye les pots cassés
Et il est regrettable qu’on ne nous propose pas ou très peu de formations en psychiatrie…. car il est vrai que nous avons de plus en plus de patients psychiatriques dans notre patientèrent…..et il faut faire face et savoir répondre à leur demande….
Il y a des formations en DPC , je suis formatrice
Effectivement, il y a des carences !
Uc formations => prise en charge par l’IDEL des patients atteints de troubles psychiatrique.
Ayant bossé en psy avant c’est vrai que on part avec un petit bagage non négligeable
1/ ce n.est pas que les infirmières libérales
2/ toute IDE même hospitalière n.est pas suffisamment formée
3/ c.est 1 cursus à part c.est à dire 1 spécialité
4/ on ne peut pas tout demander à une ide en soins généraux
Personnellement, je suis totalement mal à l.aise et même très angoissée face à la psychiatrie, je n.ai donc pas choisi cette spécialité.
Heu….le cursus psychiatrique n’existe plus depuis 1991….faut se mettre à la page !
Ah ben oui….j.ai eu mon de en 1980…pardon d.être une mamie avec un Master 2 quand même…..
Oui toutes les infirmières depuis 1991 sont formées à la psychiatrie, cours et stages…..
Mais c’est bien gentil de parler de formation… Mais être dans la responsabilité de l infirmer en poste c’est autre chose. Pas possible d’entendre cela.
Pourquoi libérale est toujours associé à exercice de ville?
??????
Je travail à la campagne. Le travail n’est pas le même. Cette différence n’est jamais considéré.
l’expression « exercice de ville » ne concerne pas le milieu urbain. elle fait la distinction entre l’exercice en service de soin et celui à domicile, je pense
8 ans de psy avant… je suis à l’aise !
Idem que toi ?
7 ans de psy avant , alors sa va .
J ai même dans mon entourage des personnes a qui je facture pas mes pec ! Mdr
??
Au contraire , j’ai été très bien formé à la psy un stage tous les ans et une superbe monitrice . Ifsi capelette marseille 1997 2000
Oui idem ! Capelette promo 1998 2001….nous nous sommes croisées ?
Lol promo 96/ 99
Mayke de Oliveira
Libérale aujourd’hui, j’ai bossé en médecine interne, en chirurgie, et en psy avant de m’installer. Mon D.E m’a permis de pouvoir me diversifier. En libéral, j’ai moins de crainte avec un patients atteints de troubles psy que lorsque je dois poser un kt nous avons un diplôme de soignants. Un soignant est capable d affronter tous les contextes pathologiques. Même avec des préférences de soins.
9 ans en psy, donc aucun soucis mais ma collègue non, et je confirme : pas à l’aise du tout du tout… Beaucoup de préjugés, du mal à si prendre avec les patients mais aussi avec les familles… Donc des formations sont les bien venu…
Le côté problématique est qu’on ne nous donne que peu d’inormations véritables concernant les patients prendre en charge…leur histoire personnelle ….et les précautions à prendre ….et quand il y a soucis …plus aucun interlocuteurs …professionnels à l’horizon !! …le patient psychiatrique n’est pas une denrée à vendre ou à troquer ….il nécessite un professionalisme sans faille …sans erreur ! Messieurs les prescripteurs intra muros ….
C’est clairement cela, le manque de maillage et d’échange entre intra et extra
Non on n est Pas du tout forme ét en plus on n a aucune Aide des psy une fois que le patient est sorti ! Mon patient a un psy qui change souvent ét cas de Souci c est le parcours du combattant pour etre entendu
Et toi Stéphanie, comment tu vis certaine situation à domicile ?
Comme former les ides psy pour bosser en libéral……
mon premier stage de première année d’IFSI a eu lieu en psy adulte dans un grand centre psy à Uzès où se trouvait aussi une UMD. j’y suis allée la peur au ventre et avec en tête, tous les préjugés et toutes les recommandations que tout le monde me répétait: ne leur tourne jamais le dos, reste à distance, ne les touche pas, garde toujours le dos côté mur pour que personne n arrive par derrière…. du coup le premier jour, hyper angoissant, horrible, j’ai fait Cléopâtre tout le jour en marchant dos au mur et de côté. mdr! pas pratique! j’ai vite compris que ce n’était pas ça. Mon stage s’est super bien passé. Mais cette expérience a fait que j’ai fait plusieurs stages et même j’y ai passé mon DE. Je n’ai pas voulu partir exercer ce métier en ne sachant pas comment me comporter avec les patients psy car ils ne sont pas que psy, ils sont aussi diabétiques, cardiaques, subissent des interventions chir… je savais que je serai quoi qu’il en soit amenée à en soigner. Moi aussi je suis plus à l’aise face à un schizo que pour poser un Kat mais je sais faire les deux. J’ai soigné des patients psy en service et j’en ai maintenant en libéral. Pour moi pas de différence, ils ont autant le droit aux soins que tout le monde. Mais ma collègue refuse d’en prendre, elle n’est pas à l’aise, elle ne sait pas gérer, je pense même qu’elle en a peur. C’est pour cela que je suis POUR une formation plus approfondie en psy pour les ESI et en formation continue. Les soins psychiatriques ont leur spécificité tout comme les soins en cancéro ou en diabéto ou pour différents pansements…; c’est pas plus compliqué. Il y a une pathologie, des symptômes. L’infirmière doit les indentifier, les évaluer et connaître l’attitude à avoir et les traitements à donner. c’est une pathologie comme une autre…ou presque…
A l’origine infirmière psy avec 15 ans de pratique puis équivalence et 23 ans de domicile je pense être complète
Isabelle Rouzé,Elise Loïck Sueur
La psy est une véritable formation personnellement je ne suis pas assez former pour prendre ses patients en charge car je l ai pratiqué c est pas ma tasse de thé
Vincent Gibot il est temps de te lancer
Je dirai plus que le vrai problème est plus le manque de temps que le manque de compétence. En libéral le temps est souvent (toujours?) compté. Or, ce sont ces patients là qui auraient besoin qu’on leur consacre le plus de temps.
Laura Foucault ta réponse me paraît très professionnelle. Je travaille au sein d’un cabinet où nous avons quelques patients psy et effectivement ce n’est pas simple, surtout au niveau de « l’hygiène », les problèmes de vaisselles voir d électroménagers sont récurrents. Triste constat
Lolo Bonhomme vous m’indiquerez l’adresse je procéderai à une inspection ?
Laura Foucault je t accompagnerai on ira avec d’autres professionnels du soin de notre ville
Je suis tout à fait d’accord
Abdel La
Hors sujet j’aurais une question a poser à une infirmière libérales sur un sujet perso svp
Claire Guerrisi Griselda Miquet on s’installe???
Je fais du libéral depuis 4 ans après 15 ans de psy. J aimerai tellement avoir plus de patients atteints de troubles psychiatriques. Une distribution de tt qui se transforme en entretien inf c est notre métier.
Mais pas payé, je sais.
Et combien d’infirmiers ayant travaillé uniquement en psy arrivent sur le Libéral sans savoir poser la moindre perf, sans avoir jamais pratiqué le moindre soin un peu technique ????
L’exercice libéral est une spécialité à lui tout seul, il est donc inutile de monter les ide les uns contre les autres, en revanche la reconnaissance officielle de cette spécialité pourrait être un plus avec une formation adaptée….
Il est regrettable de penser que l’on ne fait aucun soins technique… Avec le vieillissement de population, et les urges qui nous envoie des patients mal diagnostiqué, la pluralité des soins est de plus en plus présente.
Ce n’est pas ce que je pense, c’est la réalité de certains infirmiers « psy » qui arrivent en libéral tout comme certains infirmiers « non psy » arrivent en libéral en ayant fait que du technique (style rea) et se retrouvent désemparés face à des situations psy. Le liberal devrait être considéré comme une spécialisation avec une formation ad-hoc..
C’est la thématique d’albus qui est mal formulée !
Justine Ternisien c’est pour toi
Vous avez besoin d’une assistante ? LOL Claire Guerrisi Manel Snoussi Griselda Miquet ?
Il faut les former c’est pas un métier facile
Si on le fait c’est avec toi comme secrétaire obligé !
Oui c claire!! Pourquoi pas… et en plus notre cabinet on peut le construire sur le terrain de claire a chaque réunion elle veut refourguer son bout (de terrain…)
Allez
Bonjour, j’ai été infirmière en psychiatrie pendant 7 ans avant d’être infirmière libérale. Et je trouve je ces années d’expérience en psychiatrie m’ont beaucoup aidé dans mon approche relationnelle au domicile du patient. Après j’ai était aussi perdu pour des soins complexe que je n’avait jamais fait… Mais heureusement que ma collègue était la pour me former. Et ils y a aussi les formations pour idel. Il arrive aussi que ma collègue m’appelle pour des conseil… C ‘est un échange d’expérience… La psychiatrie nécessite un savoir faire aussi… On se tournait Pa les pouces comme beaucoup de collègue des soins généraux disait….
Pas toujours simple à gérer à comprendre aussi avec certains et à insérer dans une tournée
Je suis IDEL remplaçante depuis presque 1 an et je venais de la psychiatrie. Aucun problème pour moi, il est vrai que mon passage en psy m’aide tous les jours dans ma fonction actuelle et pas forcément auprès des patients psy !
Il y a des formations pour les libéraux en pst dans le cadre des dpc et des congrès en psy ouvert aux infirmiers lib comme l’encéphale
Ils faut davantage faire des formations aux nouvelles recrues car ils font moins de psy
Malheureusement pas toujours
Merci aux IDE pour votre travail et votre soutien.
J ai eu la chance d avoir trois stages en psy et qui étaient très formateur.
J ai souvent des patients atteints de patho psy tel que la bi- polarité ou des comportement addictif.
Ces prises en charges ne me pose aucune difficulté et nous observons de l amélioration preuve de l utilité de nos interventions .
Ce travail est effectué en partenariat avec la psychiatre l addictologue la psychologue et la généraliste.
Je vous signale qu’on s’est tapé 1 an 1/2 d’étude en plus pour intégrer le programme psy mais c’est vrais en même temps quand tu vois bosser un vrai infirmier psy (pas un généraliste, un spécialiste comme ils les faisaient avant) tu comprends qu’on a, comme qui dirait…des manques !
Non ! Avec un ou deux stages pendant la formation IDE, ce n’est pas suffisant pour prendre en charge un patient psy en tant qu’ IDEL :/
J’ai une question est ce que une remplaçante en libérale effectuant des heures en tant que remplaçante est ce que ces heures compte pour se mettre à sont propre compte plus tard ? Sachant qu’il faut 3200 heures pour ouvrir son cabinet ! Merci
Le passage en psy peut etre un plus ….a condition d’avoir fait autre chose avant et pendant…. pic Line….pac…. etc….. mdr….