Quand les innovations font émerger de nouvelles menaces ?

 

L’Informatique et plus encore le numérique font aujourd’hui partie du quotidien de toutes les infirmières et infirmiers libéraux. Mais que se passe-t-il quand ces innovations sont à l’origine de défaillances. Un Datacenter endommagé et des services inaccessibles, une cyberattaque et l’obligation de revenir au temps du tout papier …. Comment réagir ? Et surtout comment se protéger ?

La protection et la sauvegarde des données, une obligation au quotidien pour les infirmières libérales

Nous l’avons déjà rappelé à de nombreuses reprises, et d’innombrables dossiers sont publiés régulièrement, quant aux obligations faites aux infirmières et infirmiers libéraux de recueillir, protéger et sauvegarder les données de leurs patients. Non seulement les infirmières libérales doivent, comme tout professionnel, respecter le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) mais elles doivent s’assurer de protéger les données sensibles (les données de santé) notamment en ce qui concerne la confidentialité. Mais que se passe-t-il quand les professionnels de santé sont confrontés à une situation problématique, qui ne provient pas de leur responsabilité ni même de leurs agissements ?

Ainsi, le 10 mars dernier, un incendie ravageait un des Datacenter de la société OVH à Strasbourg. En quelques minutes, des millions d’’utilisateurs ont été impactés, et près d’un mois après cet incident, certains professionnels n’ont toujours pas retrouvé une situation normale. Que peuvent faire les infirmières et infirmiers libéraux lorsqu’ils sont confrontés à une telle situation ? Comment continuer à exercer étant privé de l’accès à l’ensemble des données (rendez-vous et agenda, dossiers des patients, logiciel de facturation ou de comptabilité, ….) ? En anticipant et en faisant un choix rassurant !

Se garantir de toujours pouvoir accéder à son logiciel infirmier et à ses données !

Envisager ces incidents par nature imprévisibles fait partie des critères à prendre en compte lorsque vous choisissez, en tant que professionnelle de santé, un logiciel infirmier ou tout autre service numérique. En effet, bien que cette préoccupation ne soit pas quotidienne, elle doit permettre de se préparer à toute situation. Et pour que les infirmières et infirmiers libéraux puissent se concentrer sur leur cœur de métier, Albus, l’appli des infirmiers, a déjà adopté des solutions efficientes et efficaces.

Un Plan de Reprise d’Activité, PRA pour les experts, a été signé entre nos services et notre hébergeur de données.

Pour commencer, ce PRA permet de s’assurer de ne pas perdre de données. Toutes vos données sont stockées sur au moins deux sites (Datacenter), distants de plus de 500 kilomètres. En cas d’incident dans l’un de ces Datacenter, vos données sont ainsi préservées.

Si nous pouvons donc assurer une sauvegarde de vos données, qu’en est-il de l’utilisation de vos services ? Là encore, le PRA garantit un rétablissement des services en cas de défaillance de 4 heures maximum. Cela représente bien évidemment un problème ponctuel, mais bien éloigné des semaines voire des mois d’empêchement, que connaissent aujourd’hui certains clients d’OVH.

Et pour que ces garanties ne soient pas de simples promesses, l’ensemble des dispositifs de sécurité mis en œuvre est testé au minimum une fois par an. Alors pour s’assurer en tant qu’infirmière libérale d’être toujours « connectée » à ses outils et à ses données, faites le choix d’Albus, l’appli des infirmiers.

 

La sécurité informatique en question dans le domaine de la santé

 

Hasard du calendrier et accélération des menaces, toujours est-il que ces dernières semaine une nouvelle menace inquiète tous les professionnels de santé. Alors qu’en février, les hôpitaux de Villefranche sur Saône et de Dax étaient « attaqués » par des cybercriminels, la Fédération Hospitalière de France (FHF) ne pouvait que constater que «  Le prochain virus qui neutralisera la planète pourrait bien être numérique ». Et Olivier Véran, Ministre de la Santé, ne s’est pas montré plus rassurant en soulignant que

« Depuis le début de l’année, un établissement de santé est victime chaque semaine d’une cyberattaque. »

Des mesures ont d’ores et déjà été adoptées et annoncées par Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques. Et une vaste campagne de sensibilisation et de formation devrait être organisée, dans les mois à venir, auprès de tous les acteurs de santé, et notamment les infirmières libérales.

 

Et vous, quel est votre sentiment par rapport à ce numérique qui concerne désormais tous les aspects de votre quotidien ? Estimez-vous être suffisamment protégé ?